Il est déjà temps de dire au revoir à la belle ville de Kotor. Bien sûr, après le délicieux petit-déjeuner du Tianis qui accommode sa formule pour que nous puissions déguster du salé ET du sucré !
À 9h30, on emprunte la route serpentine qui offre une vue époustouflante sur les bouches de Kotor et l’Adriatique en contrebas.
Là où ça se complique, c’est sur la route qui mène au parc national du Lovćen. Route ou plutôt piste. Ou même chemin de roches car nous croisons pelleteuses et engins en tout genre en train de creuser, d’aplanir, d’évacuer graviers et autres grosses pierres.
À deux endroits, nous devons même complètement nous arrêter pour laisser les ouvriers créer la piste sous nos yeux.
Pour les mauvaises langues, oui nous étions bien sur la bonne route, en témoigne la file de voitures derrière nous quand nous étions bloquées devant un cratère.
Une fois passés ces embêtements, la route vers le Mausolée de Njegos est dégagée. Enfin faut-il encore s’acquitter du droit de passage de 2€ par personne.
Le parking au sommet contient moins de 10 places alors garez-vous plutôt en bordure de route.
Pour accéder au Mausolée, élevé à la mémoire de Petar II Petrovic Njegos, deux façons : les 461 marches couvertes ou bien un chemin de randonnée qui contourne (je conseille ce dernier pour la montée et les escaliers pour la descente, moins casse-gueule).
Au sommet, là encore, le vue est magnifique sur le Monténégro côté Montagne cette fois.
Pour visiter le Mausolée et accéder au belvédère, il vous en coûtera 3€ de plus par personne.
Nous prolongeons l’excursion par une petite randonnée dans les bois en contrebas.
Nous reprenons ensuite la voiture, direction : Cetinje, l’ancienne capitale du Monténégro.
Bon, si ce n’est pas sur votre chemin, il n’est pas nécessaire de faire le détour.
À noter la très agréable rue piétonne Njegosleva, où nous nous installons pour siroter une boisson au rythme d’une balancelle chez Acapulco caffe.
Et quitte à être sur place, nous faisons escale à l’ancienne ambassade française, au Palais bleu, au Monastère (très bel édifice, dommage que la visite – gratuite – soit limitée à une toute petite portion. Attention à bien couvrir épaules et genoux, foulards fournis à l’entrée) et le Palais du gouvernement.
Puis nous mettons le cap sur notre dernière étape du jour : Budva, « le Saint-Tropez de la Riviera monténégrine ». La brochure n’avait pas menti. Du monde, du monde, encore du monde et ses programmes immobiliers à foison en bord de plage.
Bref, vous l’aurez compris pas mon endroit préféré du séjour pour l’instant.
On arrive quand même à dégoter un restaurant au bon rapport qualité prix sur le front de mer : Jadran Kod Krsta.
Et pour finir sur une belle note sucrée, on se faufile dans la vieille ville pour déguster une bonne glace de chez Mozart. À 1€ la boule, il ne faut pas se priver !
Tonique, divertissant, dépaysant (les photos sont un bonheur de lumière !) Mettez les masques et… respirez ! je vous adore et vous dis à très vite à la maison les baroudeuses ! Bises pluvieuses (depuis ce matin et c’est tant mieux pour les 35° d’hier et des jours précédents). Amitiés. Christian.
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Ça fait plaisir à lire ! Merci gourou, restez branché ! 😉
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