Randonnée à Madère, 7 jours

Samedi 17 juin

Cette année, je commets une infidélité à Bucketlist Aventure. Recherchant une destination plus européenne, je me suis tournée vers Explora Project et son trek à Madère !

En revanche, comme on ne change pas une équipe qui gagne, Régis est cette fois encore de la partie. 

Vol direct au départ de Nantes avec Transavia. Un embarquement un peu chaotique entre les attentes de bus et les circulations sur la piste. Mais au final, on atterrit à Funchal à l’heure prévue, 17h45 (heure locale). 

La descente nous a permis d’observer la mer transparente à perte de vue, les maisons à flan de colline et le relief saccadé. La piste d’atterrissage est très courte avec, au bout, la mer. L’aéroport de Funchal apparait souvent dans le top 10 des plus dangereux d’ailleurs. La piste étroite, agrandie il y a 15 ans pour mesurer 2 781 mètres, déborde sur la mer grâce à 180 piliers de béton. Il n’est pas donné à tout le monde d’atterrir ici. Chez British Airways, par exemple, seuls 20 pilotes sont aujourd’hui aptes à se poser sur cette piste balayée par les vents, entre une colline de maisons et l’océan Atlantique. Ceux-ci ont reçu un entraînement spécifique sur simulateur.

Après une mini frayeur bagages (nos sacs n’étaient pas sur le tapis), nous retrouvons notre contact local, Manuel, et deux de nos acolytes de la semaine, Bernard et Josette. 

Vingt minutes de van taxi plus tard, nous posons nos valises au Residencial San Roque. Ce sera notre QG (dîner et nuit) pour les trois prochains jours. 

Mini briefing en sirotant l’apéro local, la poncha (jus d’orange, jus de citron et rhum) avant un dîner d’auberge en toute simplicité, très bien cuisiné et équilibré. 

Demain, première rando !

Dimanche 18 juin 

Rendez-vous nous est donné à 9h avec nos sacs à dos devant l’hôtel. 

Dans un groupe de 10, il y a toujours les retardataires. Ce matin, c’est Muriel qui cherche son téléphone… Comme elle est infirmière, on l’attend, elle fait partie des membres essentiels, sait-on jamais 😋

C’est Geronimo qui nous accueille et qui sera notre guide pour les prochains jours. 

Dans le van qui nous conduit au point de départ de notre trek du jour, à Caniçal, il nous livre quelques informations. Comme le fait que l’île compte 178 tunnels qui couvrent une centaine de kilomètres. 

On se rendra vite compte qu’il est sympa Geronimo mais il parle un peu beaucoup trop… 

Vers 9h30, nous nous élançons sur le chemin, le soleil cogne bien. 

Le sentier serpente au milieu des cultures en terrasse. Nous arrivons sur la côte sauvage de Boca do Risco. Entre pinèdes et eucalyptus, le chemin côtier se poursuit, offrant des vues sur les falaises escarpées de la côte nord. 

Rapidement, je gagne le surnom de gazelle. C’est que je ne suis pas là pour enfiler des perles ! Profiter oui mais en avançant à un bon rythme ! 

Avec Régis, on se détache donc un peu mais on joue les ralliements à chaque fin d’ascension ou sur une plateforme avec vue pour le déjeuner. 

Explora project est cohérent avec son ambition de proposer des voyages respectueux de l’environnement. Au menu, salade de pâtes maison dans une boîte Tupperware avec de vrais couverts. Comme quoi, quand on veut, on peut ! 

En guise de digestion, nous poursuivons notre route jusqu’à Porto da Cruz, village de pêcheurs (bon, on n’en n’a pas vu…). 

Avec, à la clé, la récompense de la journée : un plouf dans l’océan à 19 degrés ! 

Côté expédition, le programme de l’organisme annonçait 19 km, le guide 17, nous finissons à 14. 

En revanche, pour le dénivelé, tout le monde est raccord : 400 D+ / 500 D-

En raison d’une incompréhension avec le guide, nous avons raté la visite de la rhumerie. Et oui, Madère est le seul endroit en Europe qui produit du rhum. Geronimo nous dégotera quand même une dégustation (I passed). À 60 degrés d’intensité, ça nettoie ! 

Lundi 19 juin 

Rendez-vous toujours à 9h pour monter à bord de nos « vans taxi », direction Ribeiro Frio. 

Première petite marche de mise en jambes jusqu’au belvédère de Balções, où nous profitons d’une vue panoramique sur la vallée verdoyante de Ribeira da Metade et Faial. 

Nous empruntons ensuite les levadas de Portela et Furado. C’est impressionnant de voir ces « canaux » qui s’étendent à perte de vue ! 

C’est agréable d’avancer dans cette nature verdoyante et luxuriante (lauriers, myrtilles…), protégés du soleil et de la chaleur. 

Parfois, il fait même un peu frais car l’endroit regorge de cascades et de « piscines naturelles », diffusant fraîcheur et humidité. 

Aujourd’hui, le compteur ne rigole pas. Vers 13h15, après une douzaine de bornes, il fait faim. 

Nous nous installons pour le déjeuner en pleine forêt et savourons une macédoine faite maison, un délice ! 

Un peu plus tôt, nous avions pris l’apéro au pied d’une cascade : un vin de Madère (Madera wine, vin cuit) accompagné d’un bolo de mel de Madera, gâteau au miel local savoureux. Je suis fan de pain d’épice mais je dois avouer que cette spécialité est bien plus délicieuse. 

La mauvaise nouvelle du jour : Régis, blessé depuis le départ, souffre de plus en plus de sa douleur à la hanche. 

Après le déjeuner, il est transporté à l’hôtel en van taxi pour se reposer et tenter d’apaiser la douleur. 

De notre côté, nous poursuivons notre chemin en longeant la levada de Castelejo. 

Quasi 4 kilomètres ainsi, j’avoue que c’était un poil long car pas grand chose à observer. 

Heureusement, elle nous permet d’atteindre un joli coin de fraîcheur avec piscine naturelle où les plus courageux du groupe plongent avec délectation. Pour ma part, je me contenterai de mes petons…

C’était une bonne idée que de faire circuler mon sang à l’eau fraîche car les 5 derniers kilomètres du jour sont les plus sportifs. 

Nous nous enfonçons dans l’antre de la laurissilva (forêt indigène) par une levada qui s’enfonce dans une vallée profonde. Et là, c’est une enfilade de marches qui montent et qui descendent sur quasi 3 kilomètres. Le corps se met enfin à transpirer ! 

Pour le tout dernier segment du trek du jour, nous retournons par d’anciens chemins réhabilités vers le village de São Roque do Faial.

Cet itinéraire nous permet d’observer des cultures en terrasses (poios) traditionnelles de l’île ainsi que des agriculteurs travaillant encore à la main. 

À l’arrivée, 22.80 km sur la montre (450 D+ / 250 D-). On se dit qu’on a bien mérité un rafraîchissement et un dernier morceau de bolo de mel pour tenir jusqu’au dîner ! 

Les ischios jambiers et les quadri ont bien travaillé ! 

Mardi 20 juin 

Il est 9h15 quand nous nous mettons en route à l’assaut du Rocher de l’Aigle (600m d’altitude). 

C’était notre dernière nuit à San Roque. Franchement, hébergement et auberge au top ! Nous nous sommes régalés tous les soirs avec des plats cuisinés aux petits oignons. Special kudos aux churrascos de dimanche soir, un délice en bouche ! 

Le Rocher de l’Aigle donc, c’est l’un des spots les plus emblématiques de Madère grâce à son panorama sur Porto da Cruz, Faial avec le bleu de l’océan en toile de fond ! 

Comme tout ce qui beau, ça se mérite ! C’est une longue route escarpée qui nous y amène. Pas de pitié pour les quadri, les « marches » sont espacées et mal taillées. Le cardio monte bien en fréquence et le corps dégouline de transpiration. 

Au point de vue, nous sortons la bouteille de Madeira pour trinquer à l’ascension. Geronimo nous offre une dégustation de pain / thon / tomate. 

Nous attendons la fin de la descente et un espace à l’ombre au bord d’une rivière pour apprécier notre salade maison du jour. 

Et là, c’est le « drame ». Encore une fois, après le déjeuner, Geronimo nous annonce que la randonnée est terminée. Nous avons à peine marché 9 kilomètres quand le site Explora en annonçait 17. Surtout, il veut nous amener aux deux étapes qui suivent en van alors que nous étions censés marcher ! 

Je prends un peu la tête de la « rébellion » et nous obtenons de marcher jusqu’au belvédère de Fortim de Faial avec vue plongeante sur l’océan. 

Nous ne bataillons pas pour marcher jusqu’à notre nouvel hôtel, à Santana. Nous nous faisons gentiment déposer et nous nous organisons pour poursuivre notre journée. 

Les bagages déposés à la Casa do Til Marcelino, nous déambulons dans le village de Santana, célèbre pour ses toits de chaume. 

Nous poussons jusqu’au belvédère de la Rocha do Navio, bordé d’hortensias, qui offre une vue magnifique sur l’océan transparent. 

Grâce à cette aventure made in nous, nous aurons chevauché 14km. Avec un beau dénivelé : 800 D+ / 700 D-

En guise de récompense, un dîner du terroir délicieusement préparé par notre hôte. Et la dégustation de notre première morue à bras, un délice ! 

Mercredi 21 juin 

Au réveil, le ciel est couvert mais le pronostic vital de la journée n’est pas engagé. 

Après le petit-déjeuner, le récit est un peu différent avec un bon crachin breton à la sauce tropicale. 

Après nous avoir annoncé, à notre plus grand étonnement, que, sur la montagne, la météo était radieuse, Geronimo se ravise (what a surprise…) et nous indique une inversion de programme entre aujourd’hui et demain. 

Un court transfert en van nous emmène au point de départ dans le canyon de Caldeirão Verde. 

C’est relativement plat et accessible. Sans doute très beau mais les vues sont obstruées par un épais brouillard. 

Dans cette forêt primaire classée à l’Unesco, nous observons toutefois cascades, nous traversons des tunnels et nous avalons des kilomètres le long des levadas. Les casquettes, kways et protège sac sont de sortie car la pluie rince bien. 

Pour le déjeuner (et une morue again en version salade), nous nous abritons sous des arbres. C’est humide mais nous pouvons quasi manger tranquillement. 

Rapidement aussi car on se refroidit vite. 

La descente jusqu’au village de montagne d’Ilha n’est pas de tout repos. 

C’est très glissant et escarpé. Au final, nous aurons presque toutes et tous glissé au moins une fois ! 

On ne sait pas pourquoi, Geronimo a, une nouvelle fois, voulu nous emmener à la plage. L’itinéraire était très sympa, au milieu des bananiers, des vignes et des innombrables fleurs. 

En revanche, le point de chute était une « plage » sans possibilité de se baigner. 

Nous avons alors marché 19,60 km. Toujours en jambes, avec une partie du groupe, nous choisissons de rentrer à l’hôtel à Santana à pied. Excellente idée !

Le départ est un peu raide avec une montée très pentue sur près de 1,5 km mais ensuite, nous avons le plaisir de longer le littoral avec une eau transparente en contre-plongée, magnifique ! 

Nous traversons des champs, des vignes. Grâce à la super boussole Didier, nous nous faufilons entre marches, levadas et autres traverseras. Très chouette ! 

Au final, 25 kilomètres dans les pattes alors on se dit qu’on a bien mérité d’aller boire un verre à quelques encablures de l’hôtel, El Colmo. Rafraîchissement ! 

Jeudi 22 juin 

Geronimo toujours très au point arrive en retard sans nous avoir prévenus au préalable, bien évidement. 

Il est donc déjà 10h30 quand le taxi nous dépose au Pico de Arriero, point de départ de notre randonnée du jour sur la crête centrale de l’île. 

Le soleil est de la partie pour nous accompagner dans un joli décor formé de pitons volcaniques, de pointes rocheuses et de gorges profondes. 

Point culminant de la journée, le Pico Ruivo (1 860m) qui, un peu plus tôt dans la journée, aurait pu nous offrir une vue panoramique sur tout l’île. 

Par temps clair, il serait même possible d’y apercevoir au loin l’île de Porto Santo, voisine de l’archipel portugais. 

Pour cela, il faudrait un organisme qui s’y connaît en horaires de randonnée et qui sait démarrer tôt. 

Pour notre part, nous observerons uniquement une mer de nuages. Mais l’excellente nouvelle de la journée : Régis is back!

Nous profitons du plateau 500 mètres en contre bas pour nous installer pour le déjeuner. 

Nous redescendons ensuite vers Queimadas à pied. Geronimo, toujours au pic de sa forme, nous invente un chemin qui nécessiterait presque une machette pour couper les arbres qui se dressent devant nous…. Heureusement, nous sortons de ces 500 mètres de broussailles sans trop d’égratignures.

Ensuite, la descente est assez pénible car très glissante. Heureusement nous avons toutes et tous de bonnes fesses amortisseurs (2eme glissade pour moi en deux jours). 

Nous rentrons à l’hôtel à pied, par la route, c’est nettement moins poétique qu’hier mais ça fait marcher. 

19,3 km au compteur. 

Nous sommes en appétit pour notre dernier repas du terroir qui commence toujours par un délicieux potage. 

Vendredi 23 juin 

Au 7eme jour, Geronimo à enfin compris que nous aimions marcher. Bcp.  

Au vu de nos réactions hier soir à l’annonce du programme du jour, il a revu notre itinéraire qui affichait un pauvre 10 kilomètres. 

Pour inaugurer la journée, nous commençons donc par une marche (un peu inintéressante) en direction de Ribeiro Bonito et son PR18 (l’équivalent de nos GR). Tout plat, dans la verdure, en bordure d’une levada à destination d’une rivière. 

On est au frais. Voilà pour l’info sympa. 10,6km aller retour. 

Après un apéro au seul troquet du coin, la Quinta Levada do Rei, nous poursuivons notre chemin vers Cabo Aéreo Café dans le village de Sao Jorge où nous nous installons pour déjeuner. En chemin, nous avons enfin pu apercevoir au large l’Ile de Porto Santo !

Explora nous a fait saliver en nous annonçant un super barbecue. C’était sympa, sans plus. Surtout quand on pourrait avoir vue sur mer et que nous sommes relégués sous un préau. Au moins, nous sommes à l’ombre alors que le soleil cogne fort en cette dernière journée de randonnée. 

Pour la digestion, nous marchons jusqu’au phare. Il était normalement fermé mais Geronimo arrive à toper le gardien qui nous ouvre la porte. Nous bénéficions ainsi d’une vue en hauteur à 360 degrés. 

Nous descendons ensuite vers la mer en suivant un sentier en balcon où nous retrouvons les fameuses cultures en terrasses de Madère, bordées de jolies végétations méditerranéennes et de joubarbes à plateau. 

Nous nous retrouvons alors à la piscine de Sao Jorge où nous étions mercredi soir. 

Un ciel bleu et un soleil rayonnant ont remplacé les couleurs maussades. La pelleteuse continue de creuser la piscine naturelle en revanche. 

Et nous, nous remontons vers Santana toujours par un départ très pentu mais cette fois, la chaleur s’ajoute à la difficulté physique (toute relative). 

Pour saluer nos efforts et nos 22,80 kilomètres du jour, nous trinquons dans un bar à quelques encablures de désormais notre ancien hôtel. Puis nous prenons la route vers Santa Cruz, notre dernière destination. 

Station balnéaire, elle a aussi la particularité d’accueillir ce soir les festivités de la Saint Jean (Santa Faz). Ça déménage, on sent qu’on va bien dormir ce soir. Il faut dire que quand on rentre dans la chambre et que nous pouvons voir que la réception a déposé des boules quies sur la table de nuit, ce n’est pas bon signe…

En attendant, une bonne douche pour laver sueur et crème solaire avant de nous rassasier chez Bom Jesus

Installés en terrasse, nous apprécions cette soirée d’été aux dernières lueurs de Madère. Et heureusement car le service est très très très lent. 

Les plats sont généreux et bons. Steak de thon à la madérienne, brochettes de gambas, saumon grillé… nous faisons également honneur à la spécialité locale, el bolo do caco, un pain à l’ail, pour accompagner les ponchas d’apéro. Saúde!

PS : sans surprise, l’endormissement a été très compliqué. Heureusement, le groupe de musique était bon !

Samedi 24 juin 

Pour clôturer le séjour, je pars courir au réveil. 

Sans trop de surprise, le parcours n’est pas exceptionnel au vu de ce que nous avions découvert de la ville la veille. 

Je longe un peu la mer, là où c’est possible, et j’en profite pour muscler les abdos fessiers en enchaînant côtes et montées de marches. 

Après un peu de lecture sur le balcon pour évacuer la chaleur corporelle et une bonne douche, j’estime que j’ai bien mérité une gourmandise à la pâtisserie située à quelques centaines de mètres de l’hôtel : Confeitaria Los Nietos. Régis m’accompagne, on partage un pasteis de nata nappé de Nutella et je complète avec un croissant et un jus d’orange pressé. 

La note est aussi douce que ma dégustation : 5,65€ pour le tout (avec café) ! 

Nous tuons ensuite le temps en déambulant dans les rues de Santa Cruz. 

À 12h, nous saluons nos premiers compagnons qui partent à l’aéroport. 

Nous ne sommes plus que 6 et nous nous installons à la terrasse de Taberna do Petisco pour un rafraîchissement en attendant la navette de 14h. 

Cette fois, c’est vraiment fini !

À propos de Madère 

À titre personnel, je n’ai pas eu de coup de coeur pour l’Ile aux fleurs. Il est vrai aussi que nous en avons vu seulement une infime partie. 

En revanche, les Madeiriens sont très accueillants et ils savent cuisiner de belles assiettes. 

En solo ou avec l’organisme adéquat , il doit y avoir de belles randonnées qui permettraient de mieux découvrir la richesse et la diversité de l’île.

À propos du groupe

Nous étions 10. Des participants en couple (4), certains entre amis (4), d’autres en solo (2). L’entente a été quasi instantanée et nous avions un niveau relativement homogène. J’ai vraiment apprécié tous nos moments de convivialité et je garderai un excellent souvenir de cette troupe éphémère !

À propos d’Explora Project

C’était ma première expédition avec eux… et ce sera la dernière. 

Je mets de côté l’aspect sportif, pas assez intense pour moi, j’aurais dû me renseigner davantage. 

Toutefois, il y a clairement un écart entre l’offre et la réalité. Le programme change, très bien mais nous n’avons pas d’info ni d’explication. 

Nous avons été mis entre les mains d’un guide qui n’avait pas le niveau physique pour encadrer un groupe tel que le nôtre et dont la connaissance des sentiers laissait à désirer. 

Clairement, ce n’est pas un trek, contrairement au nom affiché de l’expédition, tout juste un peu de marche. 

Je salue en revanche la qualité des hébergements réservés (sauf le dernier), la qualité des salades du midi maison et les délicieux dîners du terroir.

Explora, c’est sans doute très bien si cela ne vous dérange pas de suivre la masse touristique et que vous souhaitez agrémenter vos vacances d’un peu de sport. Si vous aimez sortir des sentiers battus, vivre une expérience hors du commun, passez votre chemin et tapez à la porte de Bucketlist Aventure ! 

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