8:15 : oui, vous lisez bien. Première « grasse » matinée du séjour. Il faut dire que ma chute d’hier m’a un peu coupé les jambes et, surtout, l’épaule droite n’est pas en très grande forme…
9:15 : nouveau petit-déjeuner made in Pelicano. Pain perdu aux ananas caramélisés est au menu. Une tuerie ! Quantité et qualité dans l’assiette, miam !
10:30 : on prend la direction de la playa de Estero, à pied. À la panaméenne. Autrement dit, on marche tout tout doucement pour ne presque pas avoir (trop) chaud et ne pas user les tongs (ni les pieds). On emprunte un sentier cette fois, plutôt que le bitume, sentier qui part à proximité du Pelicano. En marchant très très lentement, compter 20 minutes. On traverse une prairie avec ses chevaux et ses vaches ! Le bout du chemin est un peu plus chaotique.
En effet, pour accéder à la plage d’Estero, il faut traverser une rivière. Jusqu’à présent, on s’en est bien sorti puisqu’elle montait maximum à nos genoux. Mais en passant par ce nouveau chemin, l’accès est différent. Et donc on se met direct en maillot de bain, le sac à dos au-dessus de la tête et on marche ! Heureusement, l’eau est toujours à une température défiant toute concurrence !
11:00 : on loue deux chaises à l’Oasis Surf Camp. Ne vous en privez pas, c’est 5$ la journée. La qualité n’est pas au rendez-vous, quasi tous les sièges ont des trous mais avec une serviette dessus, ça passe. Surtout, vous êtes à l’abri du soleil, protégé par un parasol en feuilles de palmier.
Si vous préférez rester à l’air, levez le nez pour vérifier qu’il n’y a pas des noix de coco au-dessus de votre tête car elles tombent fort !
11:05 : à l’eau ! Aujourd’hui l’océan est capricieux, grosses vagues, beaucoup de courant. On s’amuse quand même avec le body board. Enfin moi un peu moins, avec un seul bras c’est plus difficile de bien prendre les vagues.
12:05 : et on dort sur les transats. Et on commande un jugo natural à l’Oasis. Et on joue dans les vagues. Et on bronze… bref, vous avez compris.
15:30 : le shop refuse de louer une planche de surf à Marjo car il estime l’océan dangereux pour une novice. On fait donc quelques derniers jeux et on reprend la route.
16:30 : le soleil cogne fort, sur le bitume cette fois. De la playa jusqu’au Pelicano, compter une bonne heure de marche par la route « normale », à un rythme panaméen.
19:00 : on prend les vélos (c’est dur de pédaler avec un seul bras, surtout en côte !), direction : Chillin… Guito, un restaurant sur les hauteurs de Santa Catalina (10’ à vélo du Pelicano, avec un seul bras donc). Leurs spécialités : poissons et fruits de mer cuisinés avec des pâtes (linguine). C’est juste un délice. Cadre hyper cosy, serveuse efficace et sympa et là encore, une très bonne playlist pour manger avec de la bonne musique.
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